mercredi 18 octobre 2017

Nettoyage à la carrière.

C'est un peu à l'improviste  que ce dimanche 15 octobre nous nous sommes rendus à la carrière du trou de l'Homme afin de débroussailler un peu et surtout pour enlever et découper  une branche qui était tombée sur notre abri sans heureusement créer de dégâts, mais une fois retirée du toit elle devenait gênante pour le passage vers cet abri.

C'est donc profitant d'une météo plus que clémente pour la saison que François, Sabrina, Téa et moi prenions la direction d'Onhaye.

Photo de JC Garigliani du 10-10-2017

Photo JC Garigliani du 10-10-2017

Dès notre arrivée sur place chacun s'attelait à une tâche bien précise, François et moi devions nous occuper de cette fameuse branche, tandis que Sabrina et Téa vidaient le cœur du feu de camp de ses cendres accumulées au fil des ans lors de nos mémorables BBQ.


C'est une fois ce travail terminé que nous allions apprendre à Téa comment allumer un feu.
Elle allait par la suite veiller à ce qu'il ne s'éteigne pas en le ravivant si nécessaire.



Alors que François s'affairait à la découpe des petites branches, je débroussaillais le petit talus qui avait été recouvert de végétations et n'avait plus été entretenu depuis bien longtemps. 


Dès que les braises furent prêtes pour la cuisson, nous sommes passés aux choses sérieuses. François avait pour l'occasion apporté une bonne bouteille, Sabrina nous avait préparé des taboulés végétaliens (quatre goûts différents) et moi je dégustais en attendant que les saucisses et la baguette de pain Français cuisent au BBQ.


En début d'après-midi, j'entreprenais avec l'aide de François le nettoyage d'une partie de la paroi sud qui était envahie par le lierre. Tandis que je coupais et que je décrochais, François tirait vers le bas un amas de lierre et de racines entremêlés grâce au grappin apporté ce matin.    


 



J'avais sous-estimé la météo et, si dans le fond de la carrière la température était bonne, au sommet l'air chaud,  ajouté au travail et au fait que j'étais bien habillé, m'a donné des suées. 







François me fit remarquer qu'une grosse dalle de calcaire était en équilibre instable et après un petit rappel, j'arrivais à sa hauteur et la fit basculer sans grand effort. En effet elle ne serait plus restée là longtemps, aussi nous ne risquions plus rien.


La journée touchait à sa fin et une fois en bas je constatais que Sabrina et Téa n'avaient pas chômé, tout le bois que François et moi avions coupé était bien rangé, elles avaient fait un super travail.
Nous replions bagage et remontons vers la voiture pour le retour au local club.
A bientôt pour une nouvelle journée à Onhaye.
Jean Pierre. 


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